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Le sommet pour l’Action sur l’intelligence artificielle 

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Vice-présidente de la commission des affaires culturelles et de l’éducation je suis engagée depuis de nombreuses années sur la thématique des nouvelles technologiques et de l’intelligence artificielle. L’Intelligence artificielle est déjà là, dans nos vies ; et pour en garder le potentiel positif, nous devons l’utiliser, la développer, la diffuser et l’encadrer. Toutes et tous. 

Du 6 au 11 février, Paris a accueilli le Sommet pour l’Action sur l’Intelligence Artificielle. Au programme : de nombreux évènements visant à renforcer l’action internationale en faveur d’une intelligence artificielle au service de l’intérêt général. Elle a été rythmée par : des journées scientifiques, un week-end culturel, un Sommet international au Grand Palais, de nombreux évènements parallèles, une journée pour les entreprises.

À l’approche du sommet, je soulignais en commission des affaires étrangères : « il ne faut pas craindre l’Intelligence artificielle, il faut s’en saisir pour tirer le meilleur de ce qu’elle peut apporter à notre société. »

Sur l’intelligence artificielle et la Culture 

Le Week-end culturel du Sommet pour l’Action sur l’Intelligence Artificielle s’est montré riche en débats, rencontres et démonstrations !

Je me suis rendue à la Bibliothèque nationale de France (BnF), pour des échanges sur les enjeux de l’intelligence artificielle générative pour la culture et la France. Les opportunités pour et par l’innovation, la création et la diffusion de l’art dans le respect des droits d’auteur. J’ai assisté à deux tables rondes : «les grands enjeux» dans le cadre de l’ouverture du week-end et « IA générative – le grand défi de l’information ».

J’ai également eu l’occasion de découvrir à la Conciergerie l’exposition « Machina Sapiens », un parcours artistique inédit, qui exposait, le 8 et 9 février, une vingtaine d’œuvres originales autour de l’IA.

Nous continuerons de cultiver les symbioses entre création, diffusion de la culture et innovations de l’intelligence artificielle, ainsi que les atouts de la France dans cette révolution technologique.

 

Sur l’intelligence artificielle et les Entreprises

Mardi 11 février je me suis rendue à la BNF pour la présentation de l’étude de France Digitale « IA générative et droit d’auteur : quelle place pour les données européennes protégées à l’ère de l’IA ? ». Cette dernière a mis en avant la nécessité de rechercher une méthode permettant faire respecter les droits d’auteur dans l’utilisation des données entraînant les systèmes d’IA et la nécessité pour les développeurs de respecter les règles mises en place dans le cadre de l’IA act sans nuire au développement de l’IA en Europe.

J’ai ensuite rencontré les entrepreneurs présents pour le Business Day organisé par France Digitale avant d’assister au discours du président de la République Emmanuel Macron à la Station F.

L’intelligence artificielle à l’Assemblée nationale

Le Sommet pour l’action de l’Intelligence artificielle, c’était aussi à l’Assemblée nationale !

Parce que l’#IA n’est pas qu’un enjeu technologique, les députés, sur l’initiative de Paul Midy, ont accueilli les témoignages passionnants et démonstrations bluffantes devant de nombreux invités.

La première table-ronde portait sur l’inclusivité dans l’IA :  » comment faire de l’IA une opportunité pour toutes et tous ? » La seconde, quant à elle traitait de la régulation dans l’IA: « comment créer un cadre vertueux pour l’innovation au service de nos valeurs ? »

Lors de ce forum, trois entreprises : Kyutai, Inclusive Brains et Wandercraft nous ont présenté leurs innovations. J’ai d’ailleurs introduit la démonstration de l’entreprise spécialiste des exosquelettes, vous pouvez retrouver mon propos ci-dessus.

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